Je suis tranquillement en train de lire un livre quand je vous vois apparaître dans mon champ de vision. Je relève la tête et vous demande, si il y a un problème. Vous me répondez « oui ! Toi ! ». Pour le coup, je suis abasourdie. J’ai fait en sorte que tous se passe pour le mieux. Je ne vous ai pas contrariez et je suis restée sage. J’allais vous demander pourquoi quand, vous m’avez interrompue. Votre regard reflète l’envie et le désir. « J’en ai assez de la petite fille sage » et vous repartez. Vous revenez avec un collier. Du coup, je comprends où, vous voulez en venir.

Vous passez le collier autour de mon cou. Vous me faîtes poser mon livre et m’attrapez par l’anneau pour me faire me relever. Vous m’entraînez dans le salon. Vous m’ordonnez de me déshabiller. J’obéis et je fais voler mes affaires par terre. Je suis d’humeur joueuse. Et à l’éclat dans vos yeux, vous aussi. Vous partez puis revenez avec une laisse. Vous l’accrochez au collier et me faîtes mettre à genoux. Vous me sermonnez en me disant qu’on ne jette pas ses affaires comme ça. Vous me faites passer à quatre pattes, puis par la laisse vous me menez à mes affaires et m’ordonnez de les ramasser et de les poser sur la chaise. J’allais utiliser mes mains quand vous tirez un grand coup sur la laisse m’arrêtant net. Je comprends, avec les dents. Je sens votre sourire plus que je ne le vois quand je range mes affaires sur la chaise de la manière dont vous le souhaitez. Vous me caressez les cheveux en me disant « tu vois que tu sais être une bonne petite quant tu veux ! ». Je grognerais presque.

Mais une autre idée me traverse l’esprit. Vous avez relâché la tension de la laisse. Je l’attrape avec les dents et je tire un coup sec. Elle vous glisse de la main et je recule avec la laisse entre les dents et un grand sourire. Vous tendez la main en m’ordonnant de vous rendre la laisse. Je hoche la tête de gauche à droite en signe de refus et recule encore. Vous rajoutez « Tu joues à un jeu dangereux ma belle… » . Mais je n’obtempère pas. Vous hochez la tête, puis quittez la pièce par la porte se trouvant derrière moi. Je vous sens revenir puis une violente morsure sur les fesses. Je viens de prendre un coup de fouet et de surprise, j’ai lâchée la laisse. Vous la récupérez et tirez dessus me forçant à me cambrer. Je vous entends me dire que vu que je veux jouer, on va jouer.

Vous me faîtes poser le torse au sol et je me retrouve les fesses cambrées. Vous vous dirigez derrière moi et après une trentaine de secondes, vous insérez un rosebud en bonne place. Pour le coup, je grogne et vous m’administrez trois-quatre claques histoire de.

Vous me faîtes me redresser en disant : « je n’en ai pas fini avec toi ». Vous m’ordonnez de me redressez et vous me menottez les poignets. Puis toujours avec la laisse, vous vous dirigez vers le jardin. Je me décompose. Il y a un certain visuel depuis votre jardin. Et pour le coup, je m’oppose. Mauvaise idée. Votre main passe dans mes cheveux et me force à avancer. Vous vous dirigez vers la terrasse, attrapez une chaise et vous y asseyez. Vous m’ordonnez de prendre place sur vos genoux pour la punition que je mérite, pour vous avoir résister. Je prends place et vous m’écartez les jambes afin de m’exposer totalement. Vos claques sont fortes et je ne peux m’empêcher de recroiser les jambes. Elles atterrissent sur mes cuisses. J’écarte de nouveau les jambes promptement. Une fois la fessée terminée, vous me faîtes relever et retirez la laisse du collier. Vous me diriger vers l’encadrement de la balançoire et m’attachez les mains au dessus de la tête.

Vous me laissez ainsi pendant un moment qui me semble long. Vous venez face à moi et m’embrassez. Vous jouez avec mon corps et celui-ci répond à vos caresses. Vous continuez à me chauffer à blanc puis vous vous arrêtez. Deux minutes plus tard, j’entends le claquement du fouet derrière moi. Vous avez envie d’une séance et de me laisser quelques jolis dessins.

Le fouet commence sa danse doucement, puis elle augmente au fur et à mesure. Déjà chauffée, je perds vite pied. Après une dizaine de minutes, vous me demandez avec quel fouet je veux les dessins. Je vous réponds votre premier. Certes, il est très mordant, mais j’en ai envie. Vous acceptez et faites tomber quatre coups d’affilés qui m’achève. Vous me détachez les poignets et m’installez sur une couverture. Vous me laissez reprendre mes esprits. Au bout de cinq minutes, je me retourne vers vous et vous dit d’un air suppliant : « s’il vous plaît… Monsieur ». Votre regard brille et me répondez oui. Vous me positionnez à quatre pattes et vous me prenez tout en douceur. Il ne me faut pas très longtemps pour être au bord de l’implosion. Mais, tant que je n’ai pas votre permission, je n’exploserai pas. Permission que vous m’accordez en me mordillant l’oreille.

J’explose en des millions de morceaux, vidée mais heureuse. Vous vous retirez de moi et je m’allonge, épuisée. Vous venez à mon côté et je m’endors auprès de vous. Je me réveillerai dans le lit. Je vous retrouve à votre bureau. Je me penche vers vous et vous embrasse tout en vous disant merci pour ce petit moment de jeu.

Merci Monsieur, pour ce délicieux moment.

Avec tout mon respect

Tala-Lou